Les seuls chroniques et articles susceptibles de retenir l'attention (en tout cas la mienne), en dehors d'une Nième étude de l'INSEE sur la croissance et le pouvoir d'achat, tous deux "en berne" selon l'institut de la porte de Vanves, traitent justement des fêtes et de leur cortège de dépenses tous plus... dispendieuses que les autres. Il serait assez cocasse, si ce n'était pas si douloureux pour certains, de voir ces deux sujets côte à côte dans l'actualité ! Mais je ne vais pas refaire mon article d'hier : je persiste et je signe.
Alors, me demanderez-vous peut-être, pourquoi écrire un article aujourd'hui, alors que j'annonce d'entrée de jeu que je n'ai rien à dire ? C'est que, ne souffrant pas de cette maladie trop répandue qu'est le nombrilisme, il m'arrive de parcourir la "toile", et en particulier les blogs des autres, où l'on trouve quelquefois des choses intéressantes.
Et j'en ai trouvé un ce matin qui a particulièrement retenu mon attention. Il s'agit de Criticus, que j'ai ajouté à la liste des liens sur la page d'accueil. Allez le visiter. Les auteurs (ils sont deux) ont des (bonnes) idées, et ils les expriment avec un courage et sur un ton qui, personnellement, m'ont beaucoup plu.
Voilà pour aujourd'hui. Joyeux Noël à tous, si je ne trouve rien de mieux à dire d'ici là. Mais rassurez-vous, ça me semble quand même peu probable !...
Ce billet était publié sur mon ancien site. Commentaires ici
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